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Ne le dites à personne, je suis en train de faire quelque chose d’atroce.
Je retiens dans les secrets de mes cachots glacés, un prisonnier que je ne libérerais jamais.

Je sais, que toujours tu dessines les traits de mon visage sur l’écran des nuages qui passent dans ton esprit.
Je sais que l’espace et le temps s’effacent… je sais que tu penses à moi et qu’à tout l’Univers, tu le dis.

Bien trop souvent sur ma route j’ai perdu la notion, j’ai perdu la raison et toutes les directions du Courage.

Parce que tu ne seras plus là, parce que ça ne fera plus ça… parce que le parfum, la voix tout ca, ça se barre que tu le veuilles ou pas !

Si j’avais des pouvoirs magiques, je volerais deux jours au temps.
Le premier, nous le passerions au milieu de la vie

Tu vaux mieux que tout ce que tu crois, tu vaux plus que tout ce que tu vois…
Tu as en toi une valeur plus grande que celle que tu es capable d’imaginer, que tout ce qu’on a osé te dire en vue de te briser, de te faire flancher à tout jamais.

Approche-toi près du bord, n’aies pas peur… laisse les lueurs du matin s’éveiller sur ta peau.
Trempe ton doigt dans l’eau fraîche et voit

C’est qui, c’est quoi le problème ?
C’est toi, c’est moi, c’est les gènes ?
C’est quoi cet enfer qui ne veut pas de réveil, c’est quoi ce cauchemar qui ne veut pas de sommeil..

Tu as tant de mots pour dire « je t’aime » sans jamais le prononcer que je ne sais pas comment tu fais.

Il y a ces instants de rien qui reviennent parfois nous dire combien ils étaient importants.