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Articles, Interviews, Conseils & Ateliers d'écriture
NOUS, PLUS LOIN QUE TOUT
Les Amis sont les âmes fraternelles qui se reconnaissent un jour et qui parcourent un chemin parallèle dans l’union et la peine…
L’INSTANT OÙ TOUT BASCULE
Je bascule dans le noir où je suis.
Le salon est endormi depuis que tu as récupéré ta vie et ta valise, depuis que je ne sais plus quel jour m’a mise à la dérive et je prive le soleil de mes sourires que je ne sais plus donner…
PREMIÈRE DIZAINE
Je me souviens comme hier de notre premier regard, de cette fabuleuse découverte sensorielle, peau contre peau. Je me rappelle t’avoir serré avec délicatesse et regardé dormir au chaud entre mes bras… tout en essuyant ces larmes aux coins de mes yeux qui n’en revenaient pas.
S’ASSEOIR POUR MIEUX SE REGARDER MARCHER
Ralentir le rythme, se poser… et si c’était de ça dont j’avais besoin ? Prendre le temps, ne plus courir… et si au fond c’était ça qui me fait du bien ?
AU ROUGE DE MES LÈVRES, J’ÉCRIS TON NOM
Au rouge à lèvres, j’écris sur ta peau.
Je calligraphie des signes dans des langues que j’invente, partout là ou la malice de mes délices m’enchante.
L’UNION DE NOS MAINS
La beauté est fille de simplicité… ce n’était rien, mais c’était tout.
Allongés sur la margelle, la tête dans le plafond étoilé, on est restés à écouter le vent de ce qui se suggère pour parfois envisager les choses autrement.
JE TRACE…
Il y’a des choses qu’on ne peut pas exprimer, sans risquer de les effeuiller. Tu sais, il y a des secrets qui ne peuvent que se vivre, des mots qui n’ont pas besoin d’être prononcés pour se rencontrer.
SI JE N’AI PLUS TOI
Si je n’ai plus toi dans l’ici, est-ce qu’encore je respire ?
Si je n’ai plus toi dans mes nuits, est-ce qu’encore je survis ?
JE PARS
Au bord de la falaise où l’herbe griffée de sel se fait fouetter par le vent dans sa colère, je regarde l’horizon assise sur une pierre.
Ciel que la nature est belle !
JE TE CONNAIS D’AILLEURS
On dit qu’il y’a un temps pour tout dans la vie et je ne sais toujours pas si c’est vrai. J’ai tendance à penser que le temps n’existe pas tellement, que les couloirs se fondent et se croisent indéfiniment.